Un psaltérion sans cordes… vacarme dans ma tête
Un beau Bacchus y fait le mouvement inverse de minerve
Et se prend dans les rets de Poséidon
Au lever, il pleut des mots que je pleux involontairement…
La route est si lente que je ne la vois plus…
Seul un objet magni-léfique me la souffle doucement dans les
cordes de Mahbouba
Je bois à ma faim l’éclair des pluviôses nuées en sirotant
une salive qui tarit
Et une bouche sèche
trop sucrée qui cherche l’empathie du café
Homme de paroles, la solidarité du café n’a jamais été son
fort
Car l’image délinéée du café ne peut les supporter…
Homme social, animal qui parle, Vautre-toi, sans te soucier,
dans le silence
Vouloir ne se met jamais à l’impératif et le sentiment est
un infinitif rauque…
Ce n’est que par accident qu’il t’arrive de régir, car sans
l’infinitif tu risques de mourir
Va, vis sans devenir et n’oublie point les roses qui auprès
de toi éclosent…
Le poumon doit à la plèvre ce que la rose doit à son épine…
Ce que langue doit aux lèvres et ce que tes nuits doivent
aux jours….
Tout le pari est là !
Souvenir d’un 28/10/2024 de D…. à .M….
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